Une question vivante

Les dйputйs biйlorusses de la Chambre des reprйsentants ont ratifiй la Convention la responsabilitй civile pour les actes de corruption
Grвce а ce document les personnes qui ont subi un prйjudice а cause de la corruption recevront une protection juridique et une possibilitй d’indemnisation. Selon le premier vice-ministre des affaires intйrieures Alexandre Chtchurko, cette dйcision est une preuve de la politique successive du pays dans le renforcement de la coopйration internationale contre ce malheur et la suite logique de la participation du Bйlarus dans la Convention de l’ONU contre la corruption et Convention sur la responsabilitй pйnale pour la corruption.

Les membres du parlement ont examinй une sйrie de projets de loi prйsentйs par le Ministиre des ressources naturelles et de la protection de l’environnement. En particulier, la correction des lois “Sur la protection et l’utilisation du royaume animal” et “Sur les dйchets”. Dans la deuxiиmes lois ci-nommйe, par exemple, conformйment а ces changements sera introduit le principe d’une responsabilitй йlargie des fabricants sur la circulation des dйchets de la production de consommation. Selon le vice-ministre Valentin Malichevski, en Allemagne la mise au point de ce principe en combinaison avec l’introduction des nouvelles technologies ont permis de diminuer la quantitй des matiиres d’emballage de 13 pour-cents, en contribuant а l’apparition d’un nouveau systиme de collecte et de traitement des dйchets.

Sans rejeter les changements proposйs, les dйputйs ont aussi fait attention а la nйcessitй de construction au Bйlarus d’entreprises modernes de traitement des dйchets. En effet, aujourd’hui il n’y a aucun programme d’Etat pour leur utilisation, tandi qu’il y a des investisseurs qui sont prкts а investir dans la construction d’usines de retraоtement.
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